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ATELIERS - inscription | programme détaillé
Inscription sur le site du congrès jusqu'au 8 juin L’inscription aux ateliers comprend l’accès à un ou deux (max.) ateliers et les pause-café. Toute personne inscrites aux JEP désirant assister à un ou deux ateliers (un par demi-journée) devra sélectionner son ou ses choix d'Atelier lors de son inscription au JEP. Aucun frais d’inscription n'est dans ce cas à acquitter pour les ateliers. Les personnes non-inscrites aux JEP souhaitant s'incrire seulement à un ou deux Ateliers satellites doivent s’inscrire et s'acquitter des frais suivants :
Ateliers du vendredi 8 juin, 9h30-13h Atelier 2 - Explorer les interactions sociales conversationnelles avec des agents artificiels | T. Chaminade, (INT, ILCB, AMU), F. Lefèvre (LIA, ILCB, U. Avignon), N. Nguyen (LPL, ILCB, AMU) & M. Ochs (LSIS, ILCB, AMU) | L’atelier vise à explorer comment les agents artificiels communicants peuvent être utilisées, ou le sont déjà, pour accroître nos connaissances sur les dimensions sociales des communications humaines et homme-machine en situation écologique. Un panel d’experts interdisciplinaire présentera quelques projets en cours et ouvrira la discussion sur les perspectives. L’objectif est de renforcer l'interaction entre sciences de la parole et du langage, psychologie cognitive, informatique et neuroscience, et promouvoir l’approche auprès d’une communauté de chercheurs élargie. | programme téléchargeable Ateliers du vendredi 8 juin, 14h-17h30 Atelier 4 - Regards croisés sur l’apraxie de la parole |A. Marczyk (LPL, INS, ILCB, AMU), V. Sabadell (CHU Timone, ILCB, AMU), C. Meunier (LPL, ILCB, AMU), A. Fasola (INS-CNRS), C. Verhaegen (IRSTL, U. Mons), L. Baqué (FlexSem , U. Autonome Barcelone), A. Rosas (FlexSem , U. Autonome Barcelone), T. Prince (iBrain, INSERM, U. de Tours) | Cet atelier vise à mobiliser les connaissances et les techniques d’investigation expérimentale des experts venant des disciplines voisines — sciences cognitives, neurosciences, pathologies du mouvement et linguistique, dont la phonétique et la phonologie — autour de questions fondamentales qui s’attachent à l’étude de la parole apraxique d’étiologies différentes (vasculaire et neurodégénérative). Cet atelier est susceptible d’intéresser les chercheurs et les cliniciens étudiant les pathologies du langage chez l’adulte, ainsi que ceux intéressés par la dimension cognitive de la production de la parole et la nature des représentations phonétiques et phonologiques |thématiques transversales | programme téléchargeable
Atelier 5 - Réflexions pour le lancement d’un Groupe d’Instrumentation pour l’étude de la production et de la perception de la Parole | T. Legou (LPL, ILCB, AMU), T. Cattelain (Gipsa Lab, U. Grenoble) & F. Silva (LMA, AMU) |Cet atelier vise à initier une réflexion au sein de la communauté parole sur l’opportunité de créer un groupe d’instrumentation pour l’étude de la parole et du langage. L’instrumentation dans le cadre de cet atelier s’entend au sens large ; il peut s’agir d’utilisation d’instrumentation existante, de conception et développement d’instruments scientifiques mais aussi de la réalisation de logiciels spécifiques qui peuvent être partagés au sein de la communauté. L’étude de la parole concerne les aspects dits « bas niveaux » mais aussi depuis plusieurs années les aspects dits « hauts niveaux » avec le recours à l’électroencéphalographie (EEG et MEG) à l’IRM fonctionnelle (IRMf) et Fnir. | programme téléchargeable Atelier 6 - La parole dans l’espace de la classe : entre libération et didactisation |V. Bourhis (ESPE, U. Cergy Pontoise), R. Gagnon (HEP, GRAFE, Vaud) | Envisager la place que l’école accorde à la parole scolaire et à l’oralité, c’est s’interroger sur la manière dont la voix porte le langage en classe, que celui-ci soit outil de communication, moyen ou objet d’apprentissage: comment construire en classe une scène verbale dans laquelle les voix de chacun, de l’enseignant comme des élèves, peuvent résonner conjointement ? Comment promouvoir l’expression individuelle en tenant compte de l’indispensable homogénéité d’un espace d’écoute privilégié collectif et consacré à l’acquisition des savoirs ? Quelle place donner à la voix physique, individuelle et singulière, à sa prosodie, sans qu’il y ait dissonance avec la voix des savoirs et du consensus didactique ? Et peut-on tenir compte des modélisations existantes de la syntaxe de l’oral ? | programme téléchargeable |